2007/5/13

Hypo-crisie

Le feu d’Amour faisait écarter la blessure,
Surnagent tous les temps sur l’eau douce limpide ;
Sur les rives d’étang pleurait-il le Timide,
L’écarlate saisit coeur dans la folie pure.

J’attendais un ange passant dans un silence,
L’abîme en donne sans m’avertir d’un écho.
Les parfums m’emmènent vers l’ambroisie d’Ego,
Les Olympiennes en sont les chefs d’évidence.

Les corsaires dansent l’apache avec la fée
Qui s’est abandonnée à l’eau de vie butée,
Rythmes extravasent comme le sang élu.

J’entends les pouls de tes crises dans l’âme instable
Qui se tremble au vent de l’Apeiron depuis néant,
D’où vient le Tumulte à l’abri du Confortable.

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